jeudi 27 décembre 2007

Master's mother

Fête de noël
en famille
vie sexuelle
affaiblie.

C'est par ce joli proverbe de fin d'année que je voulais commencer ce nouveau post pour témoigner d'un effroyable drame universellement répandu: comment un maître peut-il baiser sa soumise quand il se trouve chez ses parents omniprésents? Comment pénétrer votre victime consentante dans un religieux silence quand ils occupent la chambre voisine?
Je ne veux même pas parler de la difficulté de sortir les cordes pour l'attacher, les bougies pour la brûler, la ceinture pour la fouetter....ça c'est exclu. Impossible. Impensable. inimaginable....maman ne comprendrait pas.

Alors, je lui ai mise en douceur et elle a gémi en sourdine....ensuite, ayant l'esprit pratique, j'ai jouï dans sa bouche. Elle a tout avalé. Bien joué. Ni vu, ni connu....pas besoin de sortir de la chambre pour faire disparaître les preuves de ce dernier coït interrompu.( Charlotte ne prend pas la pillule, je ne mets pas de capote....on travaille sans filet en somme.)

De retour chez elle nous avons baisé et baisé encore, pour rattraper le temps perdu et apaiser la brûlure d'un désir toujours plus grand....mais j'ai bien senti qu'il me faudrait un peu de temps avant de retrouver l'assurance du maître......un maître qui revient de province avec de la dinde, des biscuits et de la cougnole(oui, je viens de Mons) maternels est un maître humilié...
Je hais noël.

samedi 22 décembre 2007

Le diamant Kikkou

La séparation était définitive et sans appel... je pouvais faire le deuil de mon amour.
Elle acceptait cependant d'être mon modèle afin que je puisse continuer à développer ma maîtrise du bondage(la bonne âme)...j'ai donc décidé de m'exercer seul chez moi grâce à l'aide de poupées barbies bien articulées et dociles, achetées 1 euro aux 'petits riens' + ficelle 1,5 mm :efficace.
Afin de présenter à Charlotte le premier bondage que j'avais l'intention d' échafauder sur son corps , je pris une photo de ma réalisation miniature en l'intitulant: mon premier Diamant Kikkou.
Tous les joyaux ont un nom...
Envoyé par MMS.
le modèle lui plaisait.

Le lendemain nous allions à Ikea pour suivre le sens de la visite flechée:à Ikea tout est démontable, même les visiteurs.... nous sommes donc sortis de là démontés.

Afin de nous remonter elle achète des boulettes suédoises, de la sauce suédoise, des giflarres(cherche pas, c'est suédois), et deux petites bouteilles d'alcool avec des têtes d'élan...suédoises.
-tu manges chez moi? Des boulettes suédoises?
-ok
On boit l'alcool dans le métro et l'effet est immédiat: je bande.
Ils sont forts ces suédois. La pharmacologie peut s'éreinter à inventer tous les viagras imaginables, rien ne vaudra jamais une petite bouteille suédoise à tête d'élan.
-je bande...
-...
Ben oui, ce n'est pas parce que la séparation est définitive et sans appel que je ne peux plus paratager mon émotion avec elle, quelle qu'en soit la manifestation physique....après tout, on a été intimes....

Un plat de boulettes suédoises et une bouteille de vin plus loin, Charlotte me propose de l'attacher. Le modèle lui plaît vraiment...elle aimerait le porter. Son goût vestimentaire l'empêche de résister à un si bel ensemble...
Je vais chercher une petite bouteille de vodka, une bouteille de vin...on commence.
Je maîtrise parfaitement. Je connais le modèle par coeur: merci Barbie.
Elle est belle et je suis fier...

Quelques caresses et une bonne pipe plus loin, Charlotte me propose d'aller nous coucher.
Comme elle est réglée, nous avons essayé la sodomie pour la troisième fois...
-la vodka ça aide, elle est presque rentrée cette fois...
-oui, c'est vrai...presque.
-il manquait juste un peu de Martini.
-ce sera pour la prochaine fois...

Moralité: quand une fille vous dit que c'est définitif et sans appel, offrez-lui un Diamant Kikkou.


ps: je n'ai toujours pas fait le deuil de mon amour...

dimanche 2 décembre 2007

Maîtresse Charlotte.

La veille elle avait dégusté un peu plus violemment. Je lui avait attaché les poignets aux chevilles. Je lui avait enfoncé le gode qu’elle garde en réserve pour les jours de disette….celui qui fait mal parce qu’il est trop gros….je l’avais retournée. Je lui avait cache le visage pour qu’elle n’existe plus que par le sexe. Je l’avais insulté un peu plus que d’habitude.
-là t’es quand-même allé super loin.
M’avait-elle dit ensuite.

Alors elle avait une revanche à prendre….et le lendemain, profitant de mon apathie, pour m’attacher au divan, pieds et poings liés incapable de bouger elle à voulu jouer la Maîtresse dominante. Brave petite Maîtresse. Ma dominante ne sait pas quoi faire de ses mains, s’agenouille pour essayer de me faire bander, se plaint que je garde le pouvoir car elle n’y arrive pas. …ma dominante voit ses liens se desserrer alors elle essaie de d’attacher la corde au radiateur….sans résultat.
-même dans cette position tu as une attitude de soumise, lui dis-je au creux de l’oreille. Elle abandonne. Elle me délie…..elle va payer cher sa tentative….elle m’a inspiré.

Je l’attache donc au divan dans la même position, mais cette fois la corde passe sous le divan et elle ne pourra pas bouger. Cette fois, la bougie commence à fondre sous son imperturbable flamme…cette fois ma dominante ne pourra plus rien dire car elle est bâillonnée.
La ceinture claque sur les cuisse et le côté de la fesse visible du cul de ma dominante couchée sur le dos….la paraffine coule sur son ventre alors qu’elle supplie d’arrêter son bourreau complice qu’elle à maintenant appris à vouvoyer afin de marquer son indéfectible respect, sa soumission absolue.
Je la lèche. Je la doigte jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus, je recommence: je fais couler la paraffine sur son ventre avec un plaisir non dissimulé....
-je vous en supplie Maître, arrêtez….

Gentille petite domina.

vendredi 30 novembre 2007

Le retour...

Il y a un moment qu'on en parle, qu'on cherche sur le net comment apprendre à faire des nœuds afin de ne pas se sentir désorientés à l'heure du passage à l'acte....et là je me suis décidé: je suis passé au 'Brico' pou acheter de la corde, j'ai transformé une lanière en laisse, j'ai acheté deux bougies....une façon de définir les rôles: je t'attache, je joue , je triture, je torture et toi tu subis, tu souffres et tu obéis.....une façon de voir si nos rôles sont bien ceux-là.

j' entre chez elle. Elle regarde la télé comme une bonne petite bourge désoeuvrée qui attend sa valeureuse moitié revenant arrassée d'une dure journée de labeur: déjà, je trouve le tableau peu convaincant et j'ai peur de deviner l'avenir derrière cette apparence....mais j'ai dans la hotte un tas de joujoux qui vont te faire bouger et dans la tête un tas de projets qui vont te remuer.

Je jette la corde sur le divan juste à côté d'elle. Elle me regarde comme une petite fille qui vient de recevoir un bonbon d'un inconnu. "dois-je accepter? J'ai bien envie de dire oui,mais j'ignore si c'est une bonne idée".
Je jette la laisse, les bougies, le briquet, l'anneau qui servira à fixer la corde à la poutre au dessus de son lit...elle sourit. Elle se laisse faire. Je lui passe la laisse autour du cou et attache ses chevilles avec l'autre extrémité. Elle est couchée sur le ventre , les pieds relevés. Plus Elle tend les jambes, plus elle s'étrangle.....devant ses yeux, j'allume une bougie. Elle commence à rire: la panique...le rire nerveux irrépressible qui ne fera que s'amplifier quand je ferai couler la cire brûlante sur son dos nu. Elle se tortillecomme un verre. Elle voudrait fuir mais ne peut pas bouger...et ça brûle. ça fait mal . Elle va étouffer tellement elle rit. Elle me suplie d'arrêter. Très bien...j'arrête. Mais ce n'est que partie remise.
-j'ai l'impression que je viens de baiser.
me dit-elle essoufflée....
Ensuite, je l'attacherai en suivant méticuleusement les instructions d'un site dédié au bondage...ma première réalisation. Je suis assez fier du résultat. Je prends du recul et des photos. Waw...ça se fête!
Et pour fêter ça en profitant au maximum de ma réalisation, je la laisse en cet état, la pousse sur le lit, sur les genoux, les mains attachées dans le dos. Basculée en avant, la croupe bien en évidence. Je n'ai qu'à y glisser ma queue sans attendre, sans fioriture ni délicatesse: à la sauvage. La séance de ficelage à fait office de préliminaires. Maintenant je te bourre comme une chienne ficelée, qui ne peut plus se débattre. Je t'agrippe, je te fesse, je te baise. Tu cries comme jamais. Tu me supplies d'arrêter. Tu me supplies de continuer. Rien y change, de toute façon: je ne t'entends pas. Tu es mon objet, ma chose, ma poupée et je me branle en toi aussi vigoureusement que je le peux. Je te défonce jusqu'à l'épuisement, jusqu'à ce que je ne puisse vraiment plus continuer....à bout de force. obligé d'arrêter pour reprendre de plus bel.....je veux te tuer.

Depuis j'ai réalisé sur elle quelques autres bondages dont je suis assez satisfait...les rôles se définissent maintenant très clairement: je suis son maître et elle, mon esclave. C'est par ce genre d'expérience qu'on apprend à se connaître vraiment. Je tiens maintenant un rôle qui m'était totalement étranger il y encore très peu de temps....mais étrangement, j'avais inventé un personnage dominant, fort, inébranlable....le maître que je n'était pas et que je ne pouvais même pas jouer. Je l'avais imaginé comme un personnage de théâtre ou de littérature: mon double version dominante....et cette épave du passé est en train de reprendre vie: Vaslav Hilton Ashka réssussite sur la scène de l'érotisme,et il s'est trouvé une esclave.....

mardi 20 novembre 2007

La face cachée de la lune.

Difficile de trouver un moment pour écrire...difficile de se souvenir...
Alors que je prenais Charlotte en levrette de façon assez mécanique, j'ai commencé à me sentir envahi par ce questionnement qui me traverse parfois l'esprit: pourquoi suis-je dans cette position? Pourquoi ce stupide mouvement, et quelle désir m'y pousse?

-Je suis née un jour de pleine lune.
me dit Charlotte couchée près de moi dans la chaleur de son lit posé sur le sol...et elle aimerait se faire tatouer une lune mais n'en trouve pas à son goût...si tu veux mon avis, aucune lune ne vaudra jamais le miracle de ta naissance. Laisse tomber la lune, elle manque de charisme....
si je résume un peu: ces derniers jours je l'ai fouettée, giflée, attachée,lui ai tiré les cheveux... je lui ai craché au visage . Je l' ai retournée , malmenée, serrée, chatouillée, coursée.J'ai jouï sur ses seins, sur son cul,son visage,son ventre, dans sa bouche....tous ces instants coulaient mon esprit dans l'action. J'étais l'instant que je vivais et ne pouvais m'en divertir.....puis je me retrouve à la bourrer de façon assez conventionnelle et voilà que je me regarde en train me balancer comme un autiste qui prendrait son cul pour sa tête...
Et je finis par trouver une réponse censée: je cherche la face cachée de la lune.

La face cachée de la lune c'est ce qu'une fille ne dit pas, ce qu'elle ne montre pas, Ce qu'elle ne révèle pas en société: à quatre pattes le cul en l'air, sentant la transpiration et la pèche en haute mer, à genoux presque suppliante, couchée sur le dos, le torse cambré, les seins gonflés, gémissant, criant, insultant. Vulgaire salope, pute auto-proclamée, petite conne ou maîtresse dominante, violente, effacée, douce, intimidée......c'est ça la face cachée de la lune....


-Si un jour tu me quittes,comment je fais?
-je vais te faire un moule de mon sexe en alginate...
-et qui va me frapper?
-...

lundi 12 novembre 2007

Souvenirs, souvenirs...

De ces derniers jours je me souviens d'elle à quatre pattes sur moi, couché sur le dos...de son visage s'approchant du mien:
-petit branleur!
...de ma main dans ses cheveux qui tire violemment sa tête vers l'arrière à lui faire craquer les vertèbres, du rythme de locomotive impossible à tenir plus de quelques minutes...alors je ralentis...elle se rapproche...
-tu disais?
-.... (elle sourit. Elle n'a qu'un mot à dire pour que ça recommence.) .....je la sens même pas ta queue. Elle est trop petite....
et vlan: deuxième service....

Je me souviens d'une séance de masturbation délicieusement interminable. l'index et l'auriculaire de la main droite caressant les parois de son vagin, l'index de la main droite appuyant juste au-dessus du clito pour le faire sortir de ses chaires protectrices....la langue lappant la tête de ce dernier pour la rendre folle....

Je me souviens d'une deuxième séance de masturbation épaulé par mon alliée: une chenille rose qui vibre....la tête de la chenille posée sur le clito qui ne peut pas se défiler tellement mes doigts le tiennent hors de sa planque.....ça dure, ça dure, ça dure et jamais la chenille ne rentrera dans le sexe de charlotte. Elle a trop mal. Elle est toute serrée. Elle ne peut plus pour l'instant. ( j'avoue: j'éprouve une certaine fierté en écrivant ces lignes. Orgueil placé un peu bas peut-être.....ecce homo.)
Et soudain Charlotte jouit. Elle n'en peut plus. Ses jambes cherchent à se refermer. Son sexe devient cataleptique....comme pris de spasmes. J'adore ce spectacle. Rien n'est plus émouvant que le sexe d'une femme vivant cette épilepsie passagère....

Je me souviens de ma crapuleuse tentative de sodomie:
-AhAAAW!!!! Sors de là!! Putain! Sors de là!!
Je me suis effondré de rire..... petit merdeux....
Elle m'a dit qu'elle avait saigné pendant deux jours...là encore, j'hésite entre culpabilité et fierté.......c'est moche.

Bien évidemment, je me souviens des coups de ceinture....ben oui: heureusement inspiré par cette histoire de foulard, j'ai retrouvé une vieille ceinture que je ne mettais jamais. Elle a d'abord servi à étrangler Charlotte et ensuite, alors que je la prenais en levrette, j'ai ramassé la ceinture et commencé à lui fouetter le dos....assez doucement dans un premier temps et puis, comme elle semblait y prendre du plaisir j'ai durci les coups....
Et nous sommes retombés tous les deux sur le divan en skaï....
-tu te sens comment maintenant.
-je plane. C'est mieux que l'herbe...
On a donc recommencé le lendemain.Plus jamais je ne quitterai ma ceinture aux lanières entrecroisées....

Je me souviens de la douche prise ensemble et du doigt dans le cul glissé subrepticement...
-t'es pas gêné!
-non. Pas du tout...

-vas-y, défonce-moi. Défonce-moi.
Et je m'applique, je bourre à fond. Je fais tout ce que je peux. Je la défonce avec délectation, avec les nerfs tendus comme la corde d'un arc. Je n'y vois plus rien. Je n'arrive plus à me concentrer sur la scène. Je ne suis plus qu'un rythme, qu'un mouvement qui va trop vite pour moi. J'existe à peine....je me défonce.

Elle est un peu passive Charlotte.
Je pensais que le duel serait égal mais là, je ne sais plus......mon viseur est probablement plus fiable...

samedi 10 novembre 2007

Petite lèche-cul.

On se réveille dans le lit de Charlotte. Je ne bouge pas. J'émerge avec peine. Mais mon sexe, lui, a une vie indépendante de la mienne. Charlotte le sait...l'instinct animal.
Elle l'a déjà en main. J'aime ça: dans ses petites mains, il a l'air plus gros. Elle le prend en bouche. J'aime ça: dans sa petite bouche il a l'air plus grand. Je lui tiens les cheveux derrière la tête afin de mieux profiter de la scène. J'adore la regarder me sucer.
"les garçons sont plus visuels." dit-elle d'un ton qui hésite entre complicité et don de soi.
Je serre ses cheveux avec un peu plus de force. Moi sur le dos, elle sur mes jambes. J'impose à sa tête un mouvement de va-et-vient plus intense. Elle s'arrête pour respirer. Elle reprend son souffle. Avec le nez bouché c'est difficile. La grippe donne à la fellation des allures de torture. Elle recommence. Je laisse faire. Toujours en serrant ses cheveux, je bloque son front sur mon ventre et d'un va-et-vient du bassin, je baise sa bouche. Elle serre un peu les dents. De la salive coule sur mon ventre. Ca m'excite. Je bloque sa tête de toutes mes forces. J'enfonce ma queue au fond de sa gorge. Piégée! Elle se dégage, se tient entre mes pieds...elle fait la moue(j'aime les expressions puériles de son visage). Elle en a les larmes aux yeux. Elle a bien envie de me frapper.Parfois elle me giffle.....comme pour rétablir l'équilibre....elle se couche sur le côté, près du mur. Je viens au-dessus d'elle. Je lui fourre ma queue dans la bouche. (tu croyais t'en sortir comme ça?) Je monte un peu pour qu'elle me suce les couilles. C'est bon. C'est vraiment bon. Elle descend un peu plus. Elle fait glisser son corps de façon à avoir le visage entre mes fesses. Elle sort la langue et me lèche doucement l'anus. Elle s'y enfonce un peu plus. Elle sort tout ce qu'elle peut de langue. J'ai l'impression qu'elle fait 50 centimètres. C'est exquis, c'est délicieux, c'est jouïssif. Je sens que je vais venir mais je me retiens. Je veux que ça dure....
Plus tard dans la matinée, Charlotte aura droit à une bonne fessée, voudra s'enfuir, voudra être rattrappée...je lui mettrai encore la queue en bouche. Puis je m'assierai sur son visage...accroupi. Les deux pieds bien au sol...et cette fois encore je viendrai dans sa bouche...
-j'aime bien t'entendre jouïr, j'ai l'impression d'avoir le pouvoir.
-ce n'est qu'une impression...

Bien sûr qu'elle a le pouvoir. Mon corps est déjà conditionné pour retourner vers elle, avec ou sans mon consentement. Je peux encore garder le masque. Je peux jouer les durs...mais je ne peux plus dire non.

mercredi 7 novembre 2007

'Visitor Q', puis je t'étrangle...

Je lui avais déjà parlé de Takashi Miike. Réalisateur japonais génialement déjanté. Je la sms:'je loue un Takashi et je te rejoins?' .'ok'
Névrose, délire, violence, viol, nécrophilie, scatologie, meurtres....tout ça nappé d'un humour japonais à la tonalité si particulière. Elle voit jaune: alors que je sirotte ma bière tranquillement, charlotte me passe le foulard autour du cou, le serre un peu...puis le laisse tomber...attends un peu, toi!)
La battle commence. Je t'attrappe. Je te retourne. Je te lime. T'en redemandes. Continue! En levrette, elle peut pas le voir arriver: j'attrappe le foulard, lui passe autour du cou...je serre en continuant le va-et-vient à un rythme toujours plus soutenu. J'enfonce tout ce que je peux. J'y mettrais les couilles aussi si je le pouvais. Elle me rend fou. Je serre toujours....Je relâche. Je ralentis. Puis je recommence.
-je crois que j'ai trouvé ma nouvelle drogue.

Et moi je crois que j'ai trouvé une partenaire de taille.
Quand les deux protagonistes d'une même histoire se montrent à la fois curieux, ouverts et joueurs, sans aucune retenue, sans tabous ni limites....jusqu'où peuvent-t-ils aller?

massages comestibles.

Charlotte et moi quittons Frénégonde avec qui nous venons de discuter un peu autour d'une bière...
Première visite chez moi...c'est vite fait.
Je mets un fond de jazz: "diaspora soul" de Steven Bernstein. Quoi de plus sensuel?
On s'embrasse langoureusement...debout au début....elle à genoux ensuite. Elle sort mon sexe de mon pantalon. Elle sort mon gland de son étui. (c'est pas parce qu'on écoute Bernstein qu'on est forcément circoncis.) Elle le prend en bouche, le goûte, le suce goulument, l'aspire, le branle...elle l'aime.
ça dure un moment...elle fait glisser ses petites mains du gland vers la bas de ma queue à un rythme assez soutenu qui ne m'aurait laissé aucune chance de trouver le repos si j'en avais eu envie...je vais venir. Je sens que je vais venir....je reprends ma queue en main. Charlotte penche la tête en arrière et ferme la bouche. J'éjacule sur son visage. J'exulte. C'est si bon. C'est si beau.
-j'en ai dans l'oeil.

Elle file à la salle de bain. Quand elle revient son visage est humide et elle a l'oeil droit rouge...une allergie?
On va dans le lit. Je la déshabille. Je la caresse. Je vais chercher dans un tiroir les huiles comestibles de massage que je réservais à une autre( tant pis. Charlotte l'emporte haut la main.)
C'est une petite boîte avec deux huiles, un bain douche, une poudre comestible pour jouer, un petit plumeau et une crème clitoridienne.
On joue un peu...on laisse rapidement tomber la poudre après se l'être soufflée au visage...on joue avec les plumes sur tout le corps. Certains endroits semblent la faire réagir un peu plus vivement: entre les jambes, près du sexe.....l'aine.c'est sensible l'aine. Je verse de l'huile sur son corps. Je la caresse, je la malaxe, je la goûte. C'est très sucré et collant. J'en laisse couler sur son sexe. Je goûte. C'est mieux
ça glisse. Sa peau n'oppose plus aucune résistence à la mienne. Je plonge deux doigts dans son sexe, puis trois...puis quatre. L'auriculaire sait se faire discret. (enfin, c'est ce que je croyais). Je les enfonce de plus en plus, jusqu'au métacarpe. Charlotte prends ma main et la retire....
-t'as essayé de me mettre la main tout à l'heure!?
-non. Quatre doigts seulement
-t'as essayé de me mettre la main...
-non. je n'aurais pas mis le pouce.
-...c'est la première fois qu'on me met quatre doigts.
-t'as pas aimé?
-j'aime tout dans le sexe...

Les règles du jeu...

Le week-end précédent j'avais couché avec charlotte en état d'ébriété...mais peut-être moins que moi. Après quelques jours et quelques mails racoleurs, je lui propose une nouvelle rencontre. Elle est malade. Elle est indisposée. Elle vient quand-même, m'embrasse on-the-rock...on discute de choses et d'autres en ne laissant passer aucun signe de désir et puis soudain, son regard se fige, me fixe, m'appelle...je réponds. La position est trop inconfortable pour se compter les dents avec la langue. La table nous dérange.
Elipse.
Deuxième couplet: on est chez elle dans le divan...on se caresse. On s'excite mutuellement. Elle est couchée sur le dos. Elle me déshabille. Elle veut me sucer. Je veux qu'elle me suce. Mon sexe va et vient dans sa bouche qui semble faite sur mesure. J'adore la regarder. Elle aime vraiment ça. ça se voit. ça se sent. J'aime savoir qu'elle aime vraiment ça. IL n'y a rien de sadique en moi. Je ne peux rien infliger à quelqu'un qui lui soit désagréable. Je vais jouïr. Elle ouvre la bouche un peu plus, sort la langue. J'éjacule à l'intérieur.....petite charlotte.
Troisième couplet: on est tous les deux nus sur le divan. On se caresse de nouveau. On s'excite de nouveau . Je bande de nouveau. Je prends une gorgée de vin blanc. J'approche ma bouche au-dessus de la sienne. Je laisse couler le vin, comme dans le rêve que j'ai fait la veille....
Nos corps se touchent. Nos sexes se touchent et simulent la pénétration...Je glisse la main entre ses jambes. J'attrappe la ficelle du tampon. Je la tire lentement...très lentement. Je sens une résistence. Charlotte gémit. Elle sent sans comprendre. ça l'excite. Que fait-il? Elle se redresse et regarde entre ses jambes. Elle voit la ficelle tendue entre son sexe et ma main. Je la tiens entre le pouce et l'indexe. Elle rit. Retombe en arrière...
-t'es fier de toit hein!?
-ouais...je suis assez fier. *rire* ...t'enlèves ton tampon?
-on va en mettre partout.
-c'est un divan en sky.
Elle se lève. Va dans la salle de bain. Revient...je la pénètre. Je la prends par devant, par derrière, à quatre pattes. Un pied au sol, un pied au sky. Elle met ma main dans ses cheveux. Entendu. J'attrappe, j'agrippe, je tire....je continue de plus en plus fort, de plus en plus vite. Je m'effondre. Je ne peux pas jouïr et mes poumons exigent une pause.( a noter: ma queue a plus d'endurance que le reste de mon corps).
J'ai du sang sur le corps et quelque matière grasse et gélatineuse, composée de glucose et autres corps nourrissant. J'ai le corps couvert d'un met organique composé pour un hôte qui ne viendra plus. ça me fait penser à du placenta. Charlotte me l'essuie avec une lingette. Je trouve le tableau assez beau: une femelle lèche son jeune tendrement, comme un premier geste de reconnaissance....
Je prends une douche avant de plonger sous les draps. L'eau est toute rouge...