jeudi 27 décembre 2007

Master's mother

Fête de noël
en famille
vie sexuelle
affaiblie.

C'est par ce joli proverbe de fin d'année que je voulais commencer ce nouveau post pour témoigner d'un effroyable drame universellement répandu: comment un maître peut-il baiser sa soumise quand il se trouve chez ses parents omniprésents? Comment pénétrer votre victime consentante dans un religieux silence quand ils occupent la chambre voisine?
Je ne veux même pas parler de la difficulté de sortir les cordes pour l'attacher, les bougies pour la brûler, la ceinture pour la fouetter....ça c'est exclu. Impossible. Impensable. inimaginable....maman ne comprendrait pas.

Alors, je lui ai mise en douceur et elle a gémi en sourdine....ensuite, ayant l'esprit pratique, j'ai jouï dans sa bouche. Elle a tout avalé. Bien joué. Ni vu, ni connu....pas besoin de sortir de la chambre pour faire disparaître les preuves de ce dernier coït interrompu.( Charlotte ne prend pas la pillule, je ne mets pas de capote....on travaille sans filet en somme.)

De retour chez elle nous avons baisé et baisé encore, pour rattraper le temps perdu et apaiser la brûlure d'un désir toujours plus grand....mais j'ai bien senti qu'il me faudrait un peu de temps avant de retrouver l'assurance du maître......un maître qui revient de province avec de la dinde, des biscuits et de la cougnole(oui, je viens de Mons) maternels est un maître humilié...
Je hais noël.

samedi 22 décembre 2007

Le diamant Kikkou

La séparation était définitive et sans appel... je pouvais faire le deuil de mon amour.
Elle acceptait cependant d'être mon modèle afin que je puisse continuer à développer ma maîtrise du bondage(la bonne âme)...j'ai donc décidé de m'exercer seul chez moi grâce à l'aide de poupées barbies bien articulées et dociles, achetées 1 euro aux 'petits riens' + ficelle 1,5 mm :efficace.
Afin de présenter à Charlotte le premier bondage que j'avais l'intention d' échafauder sur son corps , je pris une photo de ma réalisation miniature en l'intitulant: mon premier Diamant Kikkou.
Tous les joyaux ont un nom...
Envoyé par MMS.
le modèle lui plaisait.

Le lendemain nous allions à Ikea pour suivre le sens de la visite flechée:à Ikea tout est démontable, même les visiteurs.... nous sommes donc sortis de là démontés.

Afin de nous remonter elle achète des boulettes suédoises, de la sauce suédoise, des giflarres(cherche pas, c'est suédois), et deux petites bouteilles d'alcool avec des têtes d'élan...suédoises.
-tu manges chez moi? Des boulettes suédoises?
-ok
On boit l'alcool dans le métro et l'effet est immédiat: je bande.
Ils sont forts ces suédois. La pharmacologie peut s'éreinter à inventer tous les viagras imaginables, rien ne vaudra jamais une petite bouteille suédoise à tête d'élan.
-je bande...
-...
Ben oui, ce n'est pas parce que la séparation est définitive et sans appel que je ne peux plus paratager mon émotion avec elle, quelle qu'en soit la manifestation physique....après tout, on a été intimes....

Un plat de boulettes suédoises et une bouteille de vin plus loin, Charlotte me propose de l'attacher. Le modèle lui plaît vraiment...elle aimerait le porter. Son goût vestimentaire l'empêche de résister à un si bel ensemble...
Je vais chercher une petite bouteille de vodka, une bouteille de vin...on commence.
Je maîtrise parfaitement. Je connais le modèle par coeur: merci Barbie.
Elle est belle et je suis fier...

Quelques caresses et une bonne pipe plus loin, Charlotte me propose d'aller nous coucher.
Comme elle est réglée, nous avons essayé la sodomie pour la troisième fois...
-la vodka ça aide, elle est presque rentrée cette fois...
-oui, c'est vrai...presque.
-il manquait juste un peu de Martini.
-ce sera pour la prochaine fois...

Moralité: quand une fille vous dit que c'est définitif et sans appel, offrez-lui un Diamant Kikkou.


ps: je n'ai toujours pas fait le deuil de mon amour...

dimanche 2 décembre 2007

Maîtresse Charlotte.

La veille elle avait dégusté un peu plus violemment. Je lui avait attaché les poignets aux chevilles. Je lui avait enfoncé le gode qu’elle garde en réserve pour les jours de disette….celui qui fait mal parce qu’il est trop gros….je l’avais retournée. Je lui avait cache le visage pour qu’elle n’existe plus que par le sexe. Je l’avais insulté un peu plus que d’habitude.
-là t’es quand-même allé super loin.
M’avait-elle dit ensuite.

Alors elle avait une revanche à prendre….et le lendemain, profitant de mon apathie, pour m’attacher au divan, pieds et poings liés incapable de bouger elle à voulu jouer la Maîtresse dominante. Brave petite Maîtresse. Ma dominante ne sait pas quoi faire de ses mains, s’agenouille pour essayer de me faire bander, se plaint que je garde le pouvoir car elle n’y arrive pas. …ma dominante voit ses liens se desserrer alors elle essaie de d’attacher la corde au radiateur….sans résultat.
-même dans cette position tu as une attitude de soumise, lui dis-je au creux de l’oreille. Elle abandonne. Elle me délie…..elle va payer cher sa tentative….elle m’a inspiré.

Je l’attache donc au divan dans la même position, mais cette fois la corde passe sous le divan et elle ne pourra pas bouger. Cette fois, la bougie commence à fondre sous son imperturbable flamme…cette fois ma dominante ne pourra plus rien dire car elle est bâillonnée.
La ceinture claque sur les cuisse et le côté de la fesse visible du cul de ma dominante couchée sur le dos….la paraffine coule sur son ventre alors qu’elle supplie d’arrêter son bourreau complice qu’elle à maintenant appris à vouvoyer afin de marquer son indéfectible respect, sa soumission absolue.
Je la lèche. Je la doigte jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus, je recommence: je fais couler la paraffine sur son ventre avec un plaisir non dissimulé....
-je vous en supplie Maître, arrêtez….

Gentille petite domina.