lundi 28 janvier 2008

Flower and snake.

Flower and snake...un film de Takashi Ishii . Un film violent, érotique, sexuel, envoutant...inspirant: le générique de fin n'est pas fini quand je sors mes cordes de chanvre 8mms. Elles sont idéales. J'ai enfin trouvé les bijoux qui lui vont le mieux...autour des cuisses, des chevilles, je repasse par dessous. J'attache les poignets aux chevilles:yeux bandés, jambes écartées, sexe à prendre, à lècher, à sex-toyer, à triturer, à doigter......,oreilles attentives.je lui glisse tout bas:"petite salope, t'aime ça hein...t'en veux encore. je vais te défoncer"
Elle gémit.
Je lui délivre les poignets. Elle veut continuer. Très bien: continuons.....encore et encore:
ce matin j'ai fixé des anneaux à la poutre juste au-dessus de son lit...continuons.

dimanche 27 janvier 2008

Bxl-Mons.Mons-Thuin...

Charlotte et moi montons dans le train qui se dirige vers Mons. C'est le dernier jour pour régler quelques détails de son exposition : 21 troncs de bouleaux sont pendus au plafond...il reste à inscrire l'adresse de son site sur le mur.
Le train qui se dirige vers Mons est encore plus désert que mon esprit...Charlotte et moi y puisons la même inspiration:
- Je sais ce que tu penses: le train est vide, on pourrait baiser...
- mince alors...tu lis dans mes pensées

ça nous fait rire.
Le rire se mue en un échange de regards complices.
J'étais en face. Maintenant, je suis à côté d'elle. Pas de temps à perdre. J'ouvre ma braguette. Je sors ma queue. Rien que l'idée me faisait bander. Pas de temps à perdre. Charlotte lève sa jupe. Bonne idée la jupe. Elle écarte sa culotte, me monte dessus, plante mon sexe au fond de son vagin, secoue son bassin, regarde si rien ne vient....merde: premier arrêt. Elle saute sur le siège voisin. Je rentre ma queue. Des gens montent.
- La vieille c'est pour nous
-sauvés.
-le type en rouge
-sauvés
-le couple
-sauvés

Ils montent tous dans la voiture d'à côté...à croire que l'air est trop éléctrifié dans la notre.
Charlotte se remet sur moi. Regarde si rien ne vient. L'excitation me fait trembler. C'est moi qui vient. Je la pousse en arrière. Je plante ma queue au fond de sa gorge....

Pas de contôleur: tant pis pour lui....

Après-midi nous irons à Thuin avec la voiture de mes grands-parents...une voiture automatique ça permet de garder la main droite dans la culotte de la copilote....heureusement, on a un gps.

jeudi 27 décembre 2007

Master's mother

Fête de noël
en famille
vie sexuelle
affaiblie.

C'est par ce joli proverbe de fin d'année que je voulais commencer ce nouveau post pour témoigner d'un effroyable drame universellement répandu: comment un maître peut-il baiser sa soumise quand il se trouve chez ses parents omniprésents? Comment pénétrer votre victime consentante dans un religieux silence quand ils occupent la chambre voisine?
Je ne veux même pas parler de la difficulté de sortir les cordes pour l'attacher, les bougies pour la brûler, la ceinture pour la fouetter....ça c'est exclu. Impossible. Impensable. inimaginable....maman ne comprendrait pas.

Alors, je lui ai mise en douceur et elle a gémi en sourdine....ensuite, ayant l'esprit pratique, j'ai jouï dans sa bouche. Elle a tout avalé. Bien joué. Ni vu, ni connu....pas besoin de sortir de la chambre pour faire disparaître les preuves de ce dernier coït interrompu.( Charlotte ne prend pas la pillule, je ne mets pas de capote....on travaille sans filet en somme.)

De retour chez elle nous avons baisé et baisé encore, pour rattraper le temps perdu et apaiser la brûlure d'un désir toujours plus grand....mais j'ai bien senti qu'il me faudrait un peu de temps avant de retrouver l'assurance du maître......un maître qui revient de province avec de la dinde, des biscuits et de la cougnole(oui, je viens de Mons) maternels est un maître humilié...
Je hais noël.

samedi 22 décembre 2007

Le diamant Kikkou

La séparation était définitive et sans appel... je pouvais faire le deuil de mon amour.
Elle acceptait cependant d'être mon modèle afin que je puisse continuer à développer ma maîtrise du bondage(la bonne âme)...j'ai donc décidé de m'exercer seul chez moi grâce à l'aide de poupées barbies bien articulées et dociles, achetées 1 euro aux 'petits riens' + ficelle 1,5 mm :efficace.
Afin de présenter à Charlotte le premier bondage que j'avais l'intention d' échafauder sur son corps , je pris une photo de ma réalisation miniature en l'intitulant: mon premier Diamant Kikkou.
Tous les joyaux ont un nom...
Envoyé par MMS.
le modèle lui plaisait.

Le lendemain nous allions à Ikea pour suivre le sens de la visite flechée:à Ikea tout est démontable, même les visiteurs.... nous sommes donc sortis de là démontés.

Afin de nous remonter elle achète des boulettes suédoises, de la sauce suédoise, des giflarres(cherche pas, c'est suédois), et deux petites bouteilles d'alcool avec des têtes d'élan...suédoises.
-tu manges chez moi? Des boulettes suédoises?
-ok
On boit l'alcool dans le métro et l'effet est immédiat: je bande.
Ils sont forts ces suédois. La pharmacologie peut s'éreinter à inventer tous les viagras imaginables, rien ne vaudra jamais une petite bouteille suédoise à tête d'élan.
-je bande...
-...
Ben oui, ce n'est pas parce que la séparation est définitive et sans appel que je ne peux plus paratager mon émotion avec elle, quelle qu'en soit la manifestation physique....après tout, on a été intimes....

Un plat de boulettes suédoises et une bouteille de vin plus loin, Charlotte me propose de l'attacher. Le modèle lui plaît vraiment...elle aimerait le porter. Son goût vestimentaire l'empêche de résister à un si bel ensemble...
Je vais chercher une petite bouteille de vodka, une bouteille de vin...on commence.
Je maîtrise parfaitement. Je connais le modèle par coeur: merci Barbie.
Elle est belle et je suis fier...

Quelques caresses et une bonne pipe plus loin, Charlotte me propose d'aller nous coucher.
Comme elle est réglée, nous avons essayé la sodomie pour la troisième fois...
-la vodka ça aide, elle est presque rentrée cette fois...
-oui, c'est vrai...presque.
-il manquait juste un peu de Martini.
-ce sera pour la prochaine fois...

Moralité: quand une fille vous dit que c'est définitif et sans appel, offrez-lui un Diamant Kikkou.


ps: je n'ai toujours pas fait le deuil de mon amour...

dimanche 2 décembre 2007

Maîtresse Charlotte.

La veille elle avait dégusté un peu plus violemment. Je lui avait attaché les poignets aux chevilles. Je lui avait enfoncé le gode qu’elle garde en réserve pour les jours de disette….celui qui fait mal parce qu’il est trop gros….je l’avais retournée. Je lui avait cache le visage pour qu’elle n’existe plus que par le sexe. Je l’avais insulté un peu plus que d’habitude.
-là t’es quand-même allé super loin.
M’avait-elle dit ensuite.

Alors elle avait une revanche à prendre….et le lendemain, profitant de mon apathie, pour m’attacher au divan, pieds et poings liés incapable de bouger elle à voulu jouer la Maîtresse dominante. Brave petite Maîtresse. Ma dominante ne sait pas quoi faire de ses mains, s’agenouille pour essayer de me faire bander, se plaint que je garde le pouvoir car elle n’y arrive pas. …ma dominante voit ses liens se desserrer alors elle essaie de d’attacher la corde au radiateur….sans résultat.
-même dans cette position tu as une attitude de soumise, lui dis-je au creux de l’oreille. Elle abandonne. Elle me délie…..elle va payer cher sa tentative….elle m’a inspiré.

Je l’attache donc au divan dans la même position, mais cette fois la corde passe sous le divan et elle ne pourra pas bouger. Cette fois, la bougie commence à fondre sous son imperturbable flamme…cette fois ma dominante ne pourra plus rien dire car elle est bâillonnée.
La ceinture claque sur les cuisse et le côté de la fesse visible du cul de ma dominante couchée sur le dos….la paraffine coule sur son ventre alors qu’elle supplie d’arrêter son bourreau complice qu’elle à maintenant appris à vouvoyer afin de marquer son indéfectible respect, sa soumission absolue.
Je la lèche. Je la doigte jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus, je recommence: je fais couler la paraffine sur son ventre avec un plaisir non dissimulé....
-je vous en supplie Maître, arrêtez….

Gentille petite domina.

vendredi 30 novembre 2007

Le retour...

Il y a un moment qu'on en parle, qu'on cherche sur le net comment apprendre à faire des nœuds afin de ne pas se sentir désorientés à l'heure du passage à l'acte....et là je me suis décidé: je suis passé au 'Brico' pou acheter de la corde, j'ai transformé une lanière en laisse, j'ai acheté deux bougies....une façon de définir les rôles: je t'attache, je joue , je triture, je torture et toi tu subis, tu souffres et tu obéis.....une façon de voir si nos rôles sont bien ceux-là.

j' entre chez elle. Elle regarde la télé comme une bonne petite bourge désoeuvrée qui attend sa valeureuse moitié revenant arrassée d'une dure journée de labeur: déjà, je trouve le tableau peu convaincant et j'ai peur de deviner l'avenir derrière cette apparence....mais j'ai dans la hotte un tas de joujoux qui vont te faire bouger et dans la tête un tas de projets qui vont te remuer.

Je jette la corde sur le divan juste à côté d'elle. Elle me regarde comme une petite fille qui vient de recevoir un bonbon d'un inconnu. "dois-je accepter? J'ai bien envie de dire oui,mais j'ignore si c'est une bonne idée".
Je jette la laisse, les bougies, le briquet, l'anneau qui servira à fixer la corde à la poutre au dessus de son lit...elle sourit. Elle se laisse faire. Je lui passe la laisse autour du cou et attache ses chevilles avec l'autre extrémité. Elle est couchée sur le ventre , les pieds relevés. Plus Elle tend les jambes, plus elle s'étrangle.....devant ses yeux, j'allume une bougie. Elle commence à rire: la panique...le rire nerveux irrépressible qui ne fera que s'amplifier quand je ferai couler la cire brûlante sur son dos nu. Elle se tortillecomme un verre. Elle voudrait fuir mais ne peut pas bouger...et ça brûle. ça fait mal . Elle va étouffer tellement elle rit. Elle me suplie d'arrêter. Très bien...j'arrête. Mais ce n'est que partie remise.
-j'ai l'impression que je viens de baiser.
me dit-elle essoufflée....
Ensuite, je l'attacherai en suivant méticuleusement les instructions d'un site dédié au bondage...ma première réalisation. Je suis assez fier du résultat. Je prends du recul et des photos. Waw...ça se fête!
Et pour fêter ça en profitant au maximum de ma réalisation, je la laisse en cet état, la pousse sur le lit, sur les genoux, les mains attachées dans le dos. Basculée en avant, la croupe bien en évidence. Je n'ai qu'à y glisser ma queue sans attendre, sans fioriture ni délicatesse: à la sauvage. La séance de ficelage à fait office de préliminaires. Maintenant je te bourre comme une chienne ficelée, qui ne peut plus se débattre. Je t'agrippe, je te fesse, je te baise. Tu cries comme jamais. Tu me supplies d'arrêter. Tu me supplies de continuer. Rien y change, de toute façon: je ne t'entends pas. Tu es mon objet, ma chose, ma poupée et je me branle en toi aussi vigoureusement que je le peux. Je te défonce jusqu'à l'épuisement, jusqu'à ce que je ne puisse vraiment plus continuer....à bout de force. obligé d'arrêter pour reprendre de plus bel.....je veux te tuer.

Depuis j'ai réalisé sur elle quelques autres bondages dont je suis assez satisfait...les rôles se définissent maintenant très clairement: je suis son maître et elle, mon esclave. C'est par ce genre d'expérience qu'on apprend à se connaître vraiment. Je tiens maintenant un rôle qui m'était totalement étranger il y encore très peu de temps....mais étrangement, j'avais inventé un personnage dominant, fort, inébranlable....le maître que je n'était pas et que je ne pouvais même pas jouer. Je l'avais imaginé comme un personnage de théâtre ou de littérature: mon double version dominante....et cette épave du passé est en train de reprendre vie: Vaslav Hilton Ashka réssussite sur la scène de l'érotisme,et il s'est trouvé une esclave.....