jeudi 27 décembre 2007

Master's mother

Fête de noël
en famille
vie sexuelle
affaiblie.

C'est par ce joli proverbe de fin d'année que je voulais commencer ce nouveau post pour témoigner d'un effroyable drame universellement répandu: comment un maître peut-il baiser sa soumise quand il se trouve chez ses parents omniprésents? Comment pénétrer votre victime consentante dans un religieux silence quand ils occupent la chambre voisine?
Je ne veux même pas parler de la difficulté de sortir les cordes pour l'attacher, les bougies pour la brûler, la ceinture pour la fouetter....ça c'est exclu. Impossible. Impensable. inimaginable....maman ne comprendrait pas.

Alors, je lui ai mise en douceur et elle a gémi en sourdine....ensuite, ayant l'esprit pratique, j'ai jouï dans sa bouche. Elle a tout avalé. Bien joué. Ni vu, ni connu....pas besoin de sortir de la chambre pour faire disparaître les preuves de ce dernier coït interrompu.( Charlotte ne prend pas la pillule, je ne mets pas de capote....on travaille sans filet en somme.)

De retour chez elle nous avons baisé et baisé encore, pour rattraper le temps perdu et apaiser la brûlure d'un désir toujours plus grand....mais j'ai bien senti qu'il me faudrait un peu de temps avant de retrouver l'assurance du maître......un maître qui revient de province avec de la dinde, des biscuits et de la cougnole(oui, je viens de Mons) maternels est un maître humilié...
Je hais noël.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

de Mons mais c'est où ?

Anonyme a dit…

dans le hainaut...là où la pluie est une drache, les assiettes creuses sont profondes et les endives des chicons....