vendredi 30 novembre 2007

Le retour...

Il y a un moment qu'on en parle, qu'on cherche sur le net comment apprendre à faire des nœuds afin de ne pas se sentir désorientés à l'heure du passage à l'acte....et là je me suis décidé: je suis passé au 'Brico' pou acheter de la corde, j'ai transformé une lanière en laisse, j'ai acheté deux bougies....une façon de définir les rôles: je t'attache, je joue , je triture, je torture et toi tu subis, tu souffres et tu obéis.....une façon de voir si nos rôles sont bien ceux-là.

j' entre chez elle. Elle regarde la télé comme une bonne petite bourge désoeuvrée qui attend sa valeureuse moitié revenant arrassée d'une dure journée de labeur: déjà, je trouve le tableau peu convaincant et j'ai peur de deviner l'avenir derrière cette apparence....mais j'ai dans la hotte un tas de joujoux qui vont te faire bouger et dans la tête un tas de projets qui vont te remuer.

Je jette la corde sur le divan juste à côté d'elle. Elle me regarde comme une petite fille qui vient de recevoir un bonbon d'un inconnu. "dois-je accepter? J'ai bien envie de dire oui,mais j'ignore si c'est une bonne idée".
Je jette la laisse, les bougies, le briquet, l'anneau qui servira à fixer la corde à la poutre au dessus de son lit...elle sourit. Elle se laisse faire. Je lui passe la laisse autour du cou et attache ses chevilles avec l'autre extrémité. Elle est couchée sur le ventre , les pieds relevés. Plus Elle tend les jambes, plus elle s'étrangle.....devant ses yeux, j'allume une bougie. Elle commence à rire: la panique...le rire nerveux irrépressible qui ne fera que s'amplifier quand je ferai couler la cire brûlante sur son dos nu. Elle se tortillecomme un verre. Elle voudrait fuir mais ne peut pas bouger...et ça brûle. ça fait mal . Elle va étouffer tellement elle rit. Elle me suplie d'arrêter. Très bien...j'arrête. Mais ce n'est que partie remise.
-j'ai l'impression que je viens de baiser.
me dit-elle essoufflée....
Ensuite, je l'attacherai en suivant méticuleusement les instructions d'un site dédié au bondage...ma première réalisation. Je suis assez fier du résultat. Je prends du recul et des photos. Waw...ça se fête!
Et pour fêter ça en profitant au maximum de ma réalisation, je la laisse en cet état, la pousse sur le lit, sur les genoux, les mains attachées dans le dos. Basculée en avant, la croupe bien en évidence. Je n'ai qu'à y glisser ma queue sans attendre, sans fioriture ni délicatesse: à la sauvage. La séance de ficelage à fait office de préliminaires. Maintenant je te bourre comme une chienne ficelée, qui ne peut plus se débattre. Je t'agrippe, je te fesse, je te baise. Tu cries comme jamais. Tu me supplies d'arrêter. Tu me supplies de continuer. Rien y change, de toute façon: je ne t'entends pas. Tu es mon objet, ma chose, ma poupée et je me branle en toi aussi vigoureusement que je le peux. Je te défonce jusqu'à l'épuisement, jusqu'à ce que je ne puisse vraiment plus continuer....à bout de force. obligé d'arrêter pour reprendre de plus bel.....je veux te tuer.

Depuis j'ai réalisé sur elle quelques autres bondages dont je suis assez satisfait...les rôles se définissent maintenant très clairement: je suis son maître et elle, mon esclave. C'est par ce genre d'expérience qu'on apprend à se connaître vraiment. Je tiens maintenant un rôle qui m'était totalement étranger il y encore très peu de temps....mais étrangement, j'avais inventé un personnage dominant, fort, inébranlable....le maître que je n'était pas et que je ne pouvais même pas jouer. Je l'avais imaginé comme un personnage de théâtre ou de littérature: mon double version dominante....et cette épave du passé est en train de reprendre vie: Vaslav Hilton Ashka réssussite sur la scène de l'érotisme,et il s'est trouvé une esclave.....

2 commentaires:

Anonyme a dit…

(tu sais ce qu'elle te dit la petite bourge) (non mais)

Mr.Z a dit…

je rêve... l'effet bondage qui rend dingue.

il a même un petit nom l'artiste ?

prend la carte chez Leroy Merlin, ça te coutera moins cher en fournitures...